Pour participer à l'effort de « sobriété énergétique », de nombreux élus réduisent, voire suppriment en partie l'éclairage public. Mais, en cas d'accident, leur responsabilité peut-elle être engagée ? Interrogée sur ce point, la ministre Dominique Faure ne s'est pas montrée formelle.
Une baisse « historique » de la consommation d’électricité liée à l’éclairage public. C’est avec cet adjectif que Enedis a qualifié, fin décembre, la diminution de 20 % de ce poste.C’est dans un communiqué paru le 27 décembre que Enedis salue cet effort des collectivités, dans un secteur qui représente « 40 % de leur consommation électrique annuelle
» (11 millions de points lumineux sont déployés dans le pays, qui
nécessitent quelque 1 300 mégawatts pour fonctionner, soit la puissance
d’un réacteur nucléaire). « 68 % des maires déclaraient en novembre avoir pris des mesures d’extinction de l’éclairage public dans leur commune », rappelle Enedis, se référant à un sondage réalisé avec le CSA. « C’est
une réalité : la consommation électrique liée à l’éclairage public des
15 premiers jours de décembre 2022 a baissé de 20 % en ‘’cœur de nuit’’,
c’est à dire entre minuit et 4h par rapport à la même période de 2021. »
Suite de l'article sur Maire Info
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