lundi 4 avril 2016

Rien ne va plus: lire l'article "d'Essonne info"


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Dans son article paru le 7 avril 2015 le journal se prête à une analyse de la situation de notre village. Rappelons tout de même les contres vérités, du Maire, qui pourraient prêter à sourire si la situation n'était pas aussi grave. Persister à dire que l'on pouvait parler au bureau municipal est une contre vérité. Un bureau municipal qui se tenait dans une salle exiguë ou très peu de conseillers pouvaient tenir...Un de ces bureaux s'est même déroulé dans l'obscurité faute d'éclairage. Les réunions ouvertes aux Salucéens non jamais été tenues malgré les grandes promesses de notre idylle ; les réunions de commission urbanisme ou l'on parle de projets immobiliers découverts par hasard sur internet ; les réunions de travail faussées par des dossiers ficelés d'avance etc... la liste est longue sans rentrer plus dans le détail. Les Salucéens, privés d'information sur les projets à venir, excédés par ce manque de transparence, aspirent à d'autres relations élus/habitants. C'est dans cet esprit que le Printemps présentera aux élections municipales de juin prochain une liste citoyenne de large rassemblement de Salucéens, indépendante de toute attache partisane et Idéologique, voulant retrouver les valeurs du village. Ouvrons une nouvelle page du changement pour que la Citoyenneté, la convivialité et le respect se conjuguent dès à présent.



Le texte du journal :
Suite à une invraisemblable série de démissions au sein du conseil municipal, la ville de Saulx-les-Chartreux va devoir revoter courant juin pour élire un nouveau maire. Une élection visiblement très prisée qui risque de se jouer sur des questions concernant l’urbanisme.

Le nouveau maire de Saulx-les-Chartreux devrait prendre ses fonctions avant les vacances d’été. (MH/EI) « Quel gâchis ! ». Ces mots reviennent fréquemment dans la bouche des élus de Saulx-les-Chartreux ces dernières semaines. En effet, cette petite commune aux accents ruraux du nord du département, rendue tristement célèbre par le crash d’un Boeing de la compagnie Varig en 1973, essuie une vraie crise politique. Si bien que les Salucéens s’apprêtent à voter une nouvelle fois pour élire un nouveau maire dans les prochaines semaines.

La cause de l’organisation de ces élections municipales anticipées ? Des vagues de démissions successives au sein du conseil municipal. Et cela ne date pas d’hier. Les premières démissions ont été enregistrées dès 2014, date de la prise de fonction de cette équipe municipale. À l’époque, c’était Jacques Bisson, le leader de l’opposition salucéenne qui avait claqué la porte du conseil à cause d’une « mauvaise entente » avec les membres de son groupe d’opposition, rappelle-t-il. En 2015, rebelote. Cette fois-ci, il s’agissait de membres de la majorité. Comme le dit le vieil adage : « jamais deux sans trois », l’année 2016 fut donc elle aussi marquée par les démissions des membres de l’opposition. Si bien qu’au total, seuls 19 conseillers sur un total de 29 se sont présentés au dernier conseil municipal de mars dernier. « Le problème, c’est que suite aux démissions, nous avons épuisé les listes et plus personne ne peut remplacer les démissionnaires », explique Jean Flégeo, le maire de la commune. Dans ce cas, la réglementation stipule que pour les communes de plus de 1 000 habitants, « il est procédé à des élections partielles lorsque le conseil municipal a perdu au moins un tiers de ses membres et que le système du suivant de liste ne peut plus être appliqué », indique la Préfecture de l’Essonne. « Le tiers de sièges vacants est atteint de très peu. Ça s’est joué à une démission près », note le maire.

C’est pourquoi la commune se voit contrainte d’organiser une nouvelle élection pour renouveler intégralement son conseil. Celle-ci se tiendra « dans les trois mois qui suivent la dernière vacance », reprend les services de l’Etat.


L’urbanisme a mis le feu aux poudres



Comment en est-on arrivé là ? « C’est la conjugaison de plusieurs facteurs », résume Laurence Auffret-Dème, ancienne maire-adjointe, démissionnaire du conseil en mars 2015. Mais un sujet en particulier semble avoir mis le feu aux poudres. Il s’agit de l’urbanisme. Avec l’Îlot de l’Église, la Grande-Fontaine, la ZAC du Moulin… les projets immobiliers ne manquent pas sur la commune. Et c’est bien là que réside le problème selon certains. « Sur la ZAC du Moulin, c’est un projet de 350 logements à la base. Seulement, on s’est rendu compte par la suite que le projet s’était densifié pour atteindre 600 logements. Je ne suis pas contre le fait de construire, mais il y a un rythme à respecter. Là c’est trop d’un coup », lance Laurence Auffret-Dème. Des remarques que ne digère pas le maire de la commune. « Nous avons composé le programme ensemble. Avant de démissionner, ils avaient donné leur accord pour entamer les travaux », assure Jean Flégeo. Celui-ci reconnaît cependant que le nombre de logements a presque doublé depuis le lancement de l’étude. Toutefois, selon lui, tout est calculé. « Quand on fait une ZAC on parle de surface en mètre carré. A la base, il était question de 40 000 m². 
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